Le BP sous la loupe de Jules Charton

Le BP sous la loupe de Jules Charton

Le BP sous la loupe de Jules Charton

Jules Charton après avoir passé plusieurs années dans un cabinet d’Avignon a fondé avec deux autres associés son propre cabinet d’expert-comptable. Il s’est spécialisé dans l’accompagnement aux startups.

Le BP, l'élément incontournable des startups

En termes de stratégie, le Business plan est le support qui démontre la solidité, la viabilité et la rentabilité de la solution développée par une startup. Il est force de proposition pour convaincre des financeurs publics et privés.

Il permet aux porteurs de projet de matérialiser, structurer et présenter les objectifs financiers. Il est nécessaire qu’il soit réalisé dès le modèle économique établi et mis à jour continuellement.

 

Fisy essentiel

Dans le programme de l’incubation, nous préconisons aux incubés de s’appuyer sur Fisy, document excel créé et mis à disposition gratuitement par le Réseau Entreprendre. Les feuilles de calcul sont pré-remplies par les rubriques essentielles et le document permet de tester plusieurs hypothèses.

le BP sous la loupe de Jules Charton

L’expertise de Jules Charton en matière stratégie financière est essentielle dans le programme d’incubation. Après avoir passé une heure avec le groupe des incubés à répondre à leurs questions d’ordre comptable, il a consacré le reste du temps auprès de chacun d’eux pour examiner les projections financières et proposer des conseils d’amélioration. Nous le remercions chaleureusement de sa mise à disposition !

partager l'article

Comment financer son app, témoignage de Youcap

Comment financer son app, témoignage de Youcap

Comment financer son app, témoignage de Youcap

Passées par l’incubation en 2022, Caroline Grima et Gladys ont choisi de mettre les mains dans le cambouis en passant par le nocode pour tester le marche et éviter les risques dus au recours d’un crédit bancaire trop élevé dès le lancement de leur application.

C’est à ce titre que Caroline est venue, le temps d’un repas à l’incubateur avec la session 6 pour témoigner de la démarche de Youcap.

Partage de pratiques

Depuis cette session, nous avons pris le parti d’inviter des fondateurs de startup à témoigner auprès des incubés. Cet échange de pratiques est essentiel et il a pour effet de rassurer les incubés devant les défis qui les attendent, notamment en matière de lancement et de financement de leur solution. Le fait que d’autres startuppers les aient affrontés et surmontés leur donne un coup de boost inestimable.

Les choix de Caroline et de Galdys

Lorsque Caroline et Gladys sont arrivées à l’incubateur avec leur projet d’application web et mobile, un devis en poche de 150 K€ et l’accord d’une banque, elles portaient la conviction de tout pouvait aller comme sur des roulettes !

Dès le premier module avec Bertrand Ventadour, accompagné d’Etienne Laffaire alors startup manager, les deux fondatrices ont réalisé rapidement que développer une application grâce au prêt bancaire (et à une hypothèque immobilière) sans avoir testé le marché, c’était prendre un risque considérable avec un impact certain pour leur vie familiale. Les deux sont mamans et propriétaires de leur maison avec leur époux.

Le témoignage, sans fard, de Caroline avec les incubés ce 23 mai, a porté sur leur démarche de MVP. Elles ont choisi de remettre à plus tard le recours à une agence de développement web et Caroline a utilisé Bubble pour développer elle-même les fonctionnalités de l’application. Une compétence qu’elle juge très importante dans la mesure où elle comprend mieux en quoi consiste le développement d’une application web et mobile et la nécessité de réaliser ce qu’est un cahier des charges pour en maîtriser les coûts.

Tester le marché avec un MVP

Il n’est pas toujours nécessaire de développer une app même en MVP (Minimum Viable Product). Caroline a expliqué aux incubés que les deux fondatrices ont d’abord testé leur marché via les réseaux sociaux avec des capsules vidéos et des posts pour promouvoir un agenda hebdomadaire des événements locaux destinés aux familles et des mise en valeur d’acteurs événementiels, deux fonctions au cœur de leur solution. Elles ont créé ainsi une communauté d’intérêt précieuse qui pourra constituer les early adopters de leur solution, une fois développée.

Le dirigeant, in fine, est toujours celui qui décide

Si l’expérience de Youcap est exemplaire, Caroline a tenu à souligner que leur choix reste le leur et qu’il s’agit moins de démontrer qu’il est applicable à tout le monde que de préciser que la décision revient au dirigeant : la prise de risque doit être mesurée et qu’une idée de startup ne prend forme que lorsqu’elle est exécutée et qu’elle trouve son marché.

partager l'article

l’art de pivoter

l’art de pivoter

l’art de pivoter

Pivoter, pourquoi faire ?

Une solution, un produit ou un service innovant doit développer des stratégies adaptées pour être adopté par le marché. Que se passe-t-il quand le marché n’est pas prêt ou n’a pas les moyens de l’acquérir ? Ou bien quand la solution n’est pas tout à fait adaptée aux besoins des utilisateurs ?

En premier lieu, il s’agit de travailler son business modèle et d’utiliser l’art de pivoter après des phases de test du marché pour éviter la casse.

le business modèle, le bloc moteur de la startup

Au cœur de la dynamique d’une startup ou d’une entreprise innovante, le business modèle est l’affaire d’un travail de longue haleine. Pour autant, quand le marché ne répond pas tel que l’avait espéré les fondateurs, pivoter devient nécessaire au risque de devoir fermer la porte.

Prenons l’exemple de Kodak qui avait les moyens financiers et en ingénierie de développer des appareils numériques : ce n’est pas une faute de management qui a précipité son déclin. L’entreprise leader dans le marché du cinéma, de la photographie professionnelle et grand public a été prisonnière de son business modèle.

Qu'est-ce que le business modèle ?

Le business model, ou modèle économique, modèle d’affaires, décrit précisément comment l’entreprise va gagner de l’argent. En pratique, cela revient à définir ce qu’elle vend, auprès de quels clients, dans quel but, de quelle manière et pour quel bénéfice. 

Il s’agit d’une pièce maîtresse du projet de la création de la startup. Elle est au service d’une stratégie à définir.

La description du modèle économique doit permettre de répondre à deux questions :

– l’offre répond-elle à un véritable besoin ?

– Les créateurs ont-ils imaginé toutes les possibilités de se démarquer de la concurrence par l’innovation, les moyens mis en œuvre ou la stratégie commerciale ?

Comment décrire le business modèle ?

La manière la plus simple est de répondre aux questions suivantes :

quel est le produit ou le service proposé ?

quels sont les bénéfices ou les avantages du produit ou du service par rapport à la concurrence ?

qui sont les clients et comment ils vont être touchés ?

quels sont les moyens à mettre en œuvre pour créer le produit ou le service ?

quelles sont les principales dépenses et recettes générées par l’activité de la startup ?

Bpifrance a dédié une page au  Business Model Canva qui est très bien faite. Ci-dessous, vous trouverez le business modele canva interactif.

Lium, cas d'école pour l'art de pivoter

Lium, startup adhérente de La French Tech Grande Provence, est arrivée en 2021 avec une proposition de valeur enthousiasmante : face aux feux de forêts en Provence (et dans le monde), les deux fondateurs ont proposé un ballon captif gonflé à l’hélium, doté d’une caméra pour permettre aux pompiers d’être alertés rapidement par un départ de feu ou contrôler l’étendue de l’incendie pour intervenir au bon endroit.

Ils ont démarché plusieurs S.D.I.S. (Service Départemental d’Incendie et de Secours de la Région Sud. Leur innovation low-tech, plus performante et moins coûteuse qu’un hélicoptère a généré de l’intérêt. Seul hic, les S.D.I.S. ont vu leurs moyens financiers décroître au fil des années. Le besoin était bien là, mais pas les moyens.

Les deux fondateurs, Thomas Fattore et Guilain Yvon, sont rentrés désespérés : « nous nous sommes assis par terre très tristes » a confié Guilain lors d’un échange de pratiques avec les incubés le 16 mai 2024.

Ils ont pivoté ! Autrement dit, ils ont examiné quelles étaient les autres cibles à qui la solution pouvait s’adresser et qui avaient les moyens de l’acquérir : les sites sensibles industriels. La solution de Lium permet de sécuriser les sites en détectant les intrusions, les départs de feu, les fuites de gaz, d’identifier des personnes, des drones, des gaz polluants et de superviser le déploiement d’équipes au sol.

Le pivotement de Lium est d’autant plus remarquable que la startup développe une solution hardware pour laquelle la R&D, les tests et l’industrialisation sont plus beaucoup longs que les solutions reposant sur le software.

Ils ont saisi l’opportunité de faire partie de la première session de l’incubateur de GRT Gaz, devenu depuis leur client avec qui ils ont signé un contrat après leur premier client : Orano.

Pour autant, les deux fondateurs n’ont pas abandonné le projet de proposer la solution aux pompiers. L’objectif à terme est d’industrialiser la solution afin d’en réduire les coûts de fabrication et donc de vente et de devenir le numéro 1 de la sécurisation low-tech par l’air : sky is not the limit est leur crédo.

partager l'article

Echanges de pratique avec Tut Tut et Elipce

Echanges de pratique avec Tut Tut et Elipce

Echanges de pratique avec Tut Tut et Elipce

Les témoignages et échanges de pratiques entre porteurs de projet innovant ou startup et les startups déjà lancées sont majeurs à l’incubateur. Nous les avons intégrés à la session 6 pour le plus grand bénéfice des incubés et des startups qui témoignent.

Ce 14 mai 2024, nous avons invité Vincent Chabbert, fondateur de la startup Tut Tut et Vivian Perez, Directeur Général de l’entreprise de services numériques à témoigner et échanger de façon libre avec les incubés.

Vincent Chabbert
fondateur de Tut Tut

Les sujets auxquels les CEO de startups peuvent partager leur expérience sont nombreux : financement au démarrage, modèle économique, levées de fonds, marketing, management, soutiens, erreurs et succès.

Vincent Chabbert, fondateur et CEO de Tut Tut, a abordé tous ces sujets sans fard, avec franchise et authenticité. Ce dont les incubés ont été reconnaissants.

Qu’ont-ils retenu de ces échanges ?

– l’acceptation que l’entrepreneur ne peut être compétent sur tous les sujets bien qu’il doive en comprendre les enjeux ;

– le pouvoir de décision qui lui revient tout en s’appuyant sur les conseils d’un écosystème dédié à l’innovation ;

– le lancement d’une solution innovante même imparfaite pour aller la tester rapidement sur le marché ;

– la nécessaire et vitale délégation des tâches sans valeur ajoutée ;

– savoir s’accorder des moments avec les personnes qu’on aime pour bien repartir ;

– l’obligation de savoir rebondir après des erreurs ou des échecs ;

– prendre le temps d’écouter ses intuitions ;

– savoir trouver autour de soi des personnes qui soutiennent l’entrepreneur quoi qu’il arrive ;

Vincent a apporté, avec tout l’enthousiasme, l’humour et la générosité qui lui sont propres, un véritable coup de boost pour les startups en incubation ! Nous lui sommes reconnaissants nous aussi d’avoir pris ce temps pour témoigner à l’incubateur.

Tut Tut qui a fêté ses 3 ans il y a quelques semaines, est parvenue à l’équilibre financier. Vincent est entré en tant qu’administrateur au Réseau Entreprendre Rhône Durance pour donner à son tour ce qu’il a reçu quand il a démarré son projet.

 

Vivian Perez
Directeur Général de Elipce

Vivian Perez, Directeur Général de Elipce, membre du Conseil d’Administration de La French Tech Grande Provence, a témoigné plus particulièrement sur les démarches nécessaires à l’élaboration d’une application web et mobile : 

– comment être sûr que l’agence à laquelle on s’adresse est fiable ?

– doit-on faire signer des NDA systématiquement dès le premier rdv ?

– comment peut-on comprendre tout ce que propose une ESN quand on ne connaît rien au développement d’une app web et mobile ?

– quelles règles appliquer à un cahier des charges ?

– quel type de contrat peut-on signer avec une ESN (obligation de résultat ou taux horaire) ?

Autant d’éclaircissements nécessaires pour les porteurs de projet d’app web et mobile qui n’ont aucune expérience sur le développement, le cahier des charges. 

Nous avons apprécié que Vivian Perez insiste sur la démarche d’itération des startups, qu’elles peuvent faire appel à un développement initial en nocode ou lowcode pour tester leur marché, même si l’app n’est pas parfaite et à la condition qu’elle fonctionne. Une base sur laquelle nous sommes entièrement d’accord !

partager l'article

10 conseils pour un livre blanc BtoB

10 conseils pour un livre blanc BtoB

10 conseils pour un livre blanc BtoB

Le livre blanc BtoB est l'un ces canaux d'acquisition clients. Comment s'y prendre pour le rédiger et en faire un outil d'acquisition efficace ?

Avant de se lancer dans la rédaction d’un libre blanc BtoB, il convient de s’interroger sur ce canal d’acquisition (est-il le bon ?). Quelles expertises vais-je pouvoir dérouler et susceptibles d’engager des clients à utiliser la solution ou le produit ? Suis-je compétent.e en qualité rédactionnelle pour le rédiger ? Ou bien ai-je les compétences en interne dans mon entreprise pour déléguer cette rédaction ?

Nous avons déniché 10 conseils pour répondre à ces questions avant de se lancer dans une rédaction qui peut être chronophage et sans l’impact espéré.

1. Identifiez précisément votre cible

Si ce point paraît évident, il est nécessaire de le rappeler en préambule. Quelle est votre cible ? Quels sont ses besoins ? Comment allez-vous y répondre ?

Il est fortement conseillé d’adapter le contenu, le ton, le niveau de technicité du livre blanc au public visé.

2. Définissez clairement les objectifs du livre blanc

Selon les objectifs que vous allez définir, le contenu, le ton, le niveau de technicité seront différents. Souhaitez-vous augmenter la notoriété de votre solution ou de votre produit ? Quelles expertises souhaitez-vous valoriser ? Vous avez besoin de générer plus de leads ? 

Quelle place donnez-vous au livre blanc dans votre stratégie marketing ? Allez-vous mettre en place des indicateurs clés de son impact ?

3. Choisissez un sujet pertinent pour votre cible

Si vous connaissez bien votre cible (et c’est le minimum requis), alors vous connaissez ses problématiques. Choisir une thématique forte sera capital pour que le livre blanc ait toutes les chances d’être téléchargé et lu. A la condition que la thématique soit traitée selon un angle éditorial convainquant et utile pour les lecteurs.

4. Récoltez les ressources

Appuyez-vous sur un ensemble de sources fiables, avec chiffres clé, n’hésitez pas à citer vos sources qui donneront ainsi plus de crédibilité (les raisons de croire à votre expertise sur le sujet). Vous pouvez citer des études, des rapports, ce qui vous oblige à faire des recherches ;). 

Vous pouvez également mettre en avant des entretiens avec des experts, des témoignages clients.

5. Structurez votre document

C’est ici que vos qualités rédactionnelles vont être mises à l’épreuve.  Si c’est la première fois que vous vous lancez dans la rédaction d’un livre blanc, il est bon d’aller voir comment sont construits ceux qui circulent (recherche Google, ou Issuu, les références ne manquent pas).

En premier lieu, créez un chemin de fer qui soit à la fois logique et didactique. 

Pensez à mettre un sommaire si le livre blanc est au-delà de 3 pages. Il se peut que le lecteur ait envie d’aller directement à la page qui le concerne.

Présentez et contextualisez la problématique dès l’introduction.

Pensez à une conclusion qui synthétise les éléments présentés et apporte une dimension prospective.

Présentez votre entreprise et pensez à mettre un contact, un lien call to action 😉

 

6. Faites en sorte que la rédaction soit attirante

La qualité rédactionnelle n’échappe à la règle de AIDA : attirer, capter l’attention, aiguiser l’intérêt du lecteur, stimuler son désir, déclencher une action (vous appeler, vous contacter, acheter votre solution, prendre rdv, etc.)

Comment le faire correctement ?

  • Les titres sont informatifs et accrocheurs ;
  • le ton est adapté à la cible et sans discours commercial ;
  • les phrases sont concises et claires ;
  • le découpage des paragraphes est cohérent ;
  • les formats sont variés pour une meilleure dynamique de la lecture (encadrés, textes longs puis courts, témoignages traités de manière différente, iconographie soignée, etc.) ;
  • Il va de soi que l’orthographe et la synthaxe doivent être impeccables.

7. Après avoir soigné le fond, prenez soin de la forme

Si vous n’êtes pas un pro du graphisme et de la mise en page, et que l’impact du livre blanc est décisif pour vous, il peut être avantageux de faire appel à des compétences en interne ou en externe.

La couverture doit être impactante et donner envie au lecteur de lire le livre blanc. Si vous avez fait une recherche sur les livres blancs déjà publiés par des confrères ou des concurrents, observer les raisons pour lesquelles vous êtes attiré.e davantage par l’un que par l’autre vous donnera des pistes.

Il vaut mieux une maquette épurée que des pages chargées d’information. 

Les couleurs, polices, logos respectent la charte graphique de votre entreprise.

8. Réservez une page dédiée au livre blanc

Il est nécessaire de créer une page de votre site internet dédiée au livre blanc pour plusieurs raisons :

Elle permet de donner des indications précieuses sur le contenu du livre blanc (problématique, bénéfices clients).

Son référencement naturel (SEO) doit être soigné avec les mots clés nécessaires.

Un formulaire permet de collecter des données essentielles sur la personne intéressée par votre livre blanc (ne le mettez pas en téléchargement libre, vous n’aurez pas d’indicateurs clé de l’intérêt qu’il va susciter). Si vous n’avez pas intégré de formulaire dans votre site internet en plugin, vous pouvez utiliser tally qui est gratuit et bien fait.

C’est ici que Semrush et Hotjar peuvent être des outils fort utiles à mettre en place.

 

9. Faites la promotion de la sortie du livre blanc

En utilisant votre communication multicanal, il s’agit, une fois toutes les étapes franchies et votre livre blanc prêt, d’inviter les futurs lecteurs à en prendre connaissance :

Newsletter, sites médiats, réseaux sociaux, emailing, sans oublier la signature de vos mails !

Il peut être l’occasion de trouver de nouveaux clients en passant par la prospection via LinkedIn. C’est ici que Waalaxy peut être utile pour adresser de manière automatisée des messages invitant vos nouveaux prospects à lire le livre blanc.

10. Donnez suite aux personnes qui ont téléchargé le livre blanc

Bien entendu, ces personnes vont laisser une adresse mail, un nom et prénom ou plus selon le formulaire que vous aurez paramétré. Il va de soi que vous allez intégrer ces informations à votre base de données clients ou CRM (Customer Relation Manager).Vous pouvez automatiser les réponses lors du téléchargement (en l’humanisant).

Vous pouvez aller plus loin : les contacter directement. Ou bien entretenir la relation en lui fournissant des contenus en lien avec la thématique.

partager l'article